vendredi 12 octobre 2007

UGLY GEORGE

J'ai l'ouie fine et souvent j'entends des bribes de conversations (comme l'ange dans les Ailes du Désir). Tout cela mis bout à bout raconte parfois d'étranges histoires qui alimentent mes collages pop-surréalistes.

Mais ma phrase de la semaine, c'est quand même celle-ci, émanant d'une femme élégante mais avec pas mal de kilométrage, et à la bouche étrangement déformée par l'aigreur:

"Mais qu'est-ce qu'il est laid, ce George Clooney, je ne comprends vraiment pas ce qu'on lui trouve!"

Cela alimente évidemment ma réflexion quasi permanente sur le manque de goût, malheureusement trop souvent associé à la prétention d'en avoir plus que les autres.

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